Le grand départ de notre aventure était daté, le 27 juillet 2013, premier jour de nos vacances respectives avec Chloe. Nos deux équipiers, Charles, mon père et Brieuc, mon beau-frère, ont réussi à se caler aussi quelques jours pour traverser le Golfe de Gascogne, mais avec un retour au boulot impératif et donc un avion prévu le mercredi 31 Juillet de La Corogne. La météo annoncée n’est pas bonne depuis le début de semaine pour ce convoyage. Grosse dépression, orages, vent dans le nez…

Voilà le routage dans le coup de vent, on serait mieux à la maison !

Voilà le routage dans le coup de vent, on serait mieux à la maison !

Chaque jour de la semaine, en prenant la météo, on espérait que ça s’améliore…sans succès. Résultat : une dure dernière semaine de boulot, pas serein sur le départ et Chloé qui pensait avoir quelques jours libres en fin de semaine a finalement aussi travaillé sous pression jusqu’au vendredi soir.Un bon cocktail explosif pour un départ, l’expérience nous ayant déjà prouvé qu’il faut savoir se reposer avant de prendre la mer, la grande question était donc « on y va ou pas ? »
Si on n’y va pas, Charles et Brieuc ne pourront pas être de la partie car la fenêtre météo favorable ne leur permettra pas de prendre leur avion retour. Si on n’y va pas, pas de convoyeur pour le Gascogne et un délai plus que limite pour profiter un peu de l’Espagne et du Portugal.
Donc on y va, mais c’est en sachant où on met les pieds ! Avec une info météo et des conseils avisés auprès de mon ami Laurent Gouez, ancien figariste qui connaît notre niveau et le bateau, et qui nous conforte dans la faisabilité de cette traversée. Mais il a été clair : « préparez vous en mode combat !! »

2 réponses
  1. pugnat
    pugnat dit :

    bonjour c’est maverick, ça me donne envie tout ça……quelle belle initiative. je vais voyager avec vous pendant ces 3 mois ça va etre cool….. soyez prudents….take care, je vous bise bien fort.
    le solitaire des mers, el braco …..

    • gloglo
      gloglo dit :

      Merci Maverick,
      Dommage que je puisse pas plonger au milieu de l’atlantique, ça grouille apparemment. Heureusement qu’on a du matos de pêche de malade!
      Prend ton Jet pour nous rejoindre a la Dominique…
      bise

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